Je vous disais que l’accueil est très important pour les Rwandais. Chez eux, nous sommes « plus importants que l’or ».
Chacun est donc touché intérieurement par cette attention attachante. Attention que j’ai ressentie à travers la cuisine rwandaise.
Oui, nous avons reçu beaucoup à travers cette préparation culinaire, à travers les plats préparés et à travers la joie et le regard pétillant des personnes qui venaient nous servir.

La cuisine rwandaise est copieuse, bonne et seine. Il est possible de manger, pour le petit-déjeuner, salé ou/et sucré
Exemple : potage, omelette … café/thé, lait, confiture, miel/sucre, beurre/margarine, pains/brioches

Le repas déjeuner/ dîner peuvent se composer de différents aliments: potage, fruits : bananes, prunes du japon, fruits de la passion



riz, haricot rouge, pomme de terre, poissons , frites, sauce tomate, petits pois, oignons, carottes…



Nous avons eu l’honneur de manger une brochette de chèvre. Cuisine très appréciée par les Rwandais. Je ne connaissais pas. J’ai trouvé la viande bien cuite et très bonne.



Et un très beau et bon dessert, le jour de l’ordination du Père Védaste!!

D’où viennent tous ces différents aliments?
S’il y a plusieurs sortes d’aliments et de fruits, c’est parce que l’agriculture rwandaise est très variée en fonction de la géographie
du terroir.
D’où la belle variété de fruits et légumes au marché .
Pour tout ce travail , ce sont souvent les femmes qui se lèvent tôt, vers 4 h du matin. Elles vont aux champs, aux rizières, aux terrasses. Elles travaillent dur physiquement.
Plus tard, elles retournent chez elles pour s’occuper des enfants et de leur famille. Ensuite, elles vont tisser des relations de voisinage et d’entraide.
Leur journée est bien remplie! Malgré la fatigue et le travail dur, elles gardent toujours le sourire.


Que vous dire!
Si nous avons eu une place de choix en tant qu’hôte privilégié, par l’accueil autour de bons mets et autour de nouvelles saveurs, tous les Rwandais ne mangent pas à leur faim. Dommage!
Cela n’a pas été facile pour moi de concilier le fait de bien manger, avec les difficultés alimentaires pour d’autres, complètement affamés.
J’en conclus que les inégalités existent partout.
Posté par Jacqueline L.
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